Cross Academy
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 Hisae Saori.

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AuteurMessage
Hisae Saori.
Sang pur - élève de la Night Class.
Hisae Saori.


Féminin
Nombre de messages : 24
Age : 28
Pseudo : Masouka.
Date d'inscription : 14/11/2008

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MessageSujet: Hisae Saori.   Hisae Saori. Icon_minitimeVen 14 Nov - 21:04

    × Nom : Saori.
    × Prénom : Hisae.
    × Surnom : Hisa.
    × Âge : seize ans.
    × Classe : Night Class.
    × Rang : sang pur.
    × Pouvoir : contrôle le vent (peut créer des souffles, des courants d'air, etc.).

    × Histoire :
    « Te voilà enfin, princesse... Je t'ai tant attendue... »

    Ces mots furent les premiers qu'entendit Hisae, prononcés avec chaleur, d'une voix féminine qui était aussi douce que des pétales de roses, mais mêlée d'une profonde tristesse. Évidemment, elle ne les comprit pas, venant tout juste d'arriver au monde, par ce doux matin d'automne. Un jour comme les autres pour des milliers de gens, un jour sentant la prochaine venue de l'hiver, un jour supplémentaire s'entassant pour former une existence. Mais pour trois d'entre eux, ce jour était l'acheminement d'un destin couvert de sang et fait de carnages. Une aire de paix. Un soleil éclairant l'obscurité. Un espoir.
    À partir de ce jour là, les années qui suivirent ne furent que amour et bonheur pour la fillette, élevée avec tendresse par ses parents, Fukami et Chũji, tous deux des vampires. Depuis son plus jeune âge, Hitae savait parfaitement ce que signifiait être vampire, connaissait les règles, avait déjà longuement entendu parler de la guerre les opposant aux humains qui avait sévit pendant de longues années ; mais, même si on lui avait décrit tout ce qui avait pu s'y passer, son monde à elle restait rose et souriant, tout le monde était gentil, et les « méchants » n'existaient que dans les contes que lui lisaient sa mère avant de s'endormir. Elle ne faisait aucune différence entre les deux races, et c'est pourquoi, à l'école, elle se fit très vite beaucoup d'amis humains. Dont...

    - Dis, comment tu t'appelles ?
    - Shitajiki, mais tout le monde m'appelle Jiki.
    - Moi, c'est Hisae. Enchantée, Jiki-kun !


    Ces voix étaient celles de jeunes enfants. C'était dans une cour de récréation, à l'école primaire. Les deux interloceurs, âgés de six ans à l'époque, c'était Hisae, ainsi que celui qui devînt très vite son meilleur ami. Seulement, un point énorme semblait vouloir les séparer à tout jamais, même si ils ne s'en rendaient pas vraiment compte : Jiki était... Un humain. Le premier avec qui la fillette créa des liens si particuliers, et sans doute le dernier. Cependant, pour elle, c'était un égal, et lui ne savait nullement que ce n'était pas le cas. Peu à peu, alors qu'ils grandissaient, le lien les unissant s'intensifiait.

    - Jiki, toi, tu crois à l'existence des vampires ?
    - Non, mais si tu disais qu'ils existent, je te croirais sur parole, car je sais que tu ne mens jamais.


    Ces mots naïfs, cette conversation badine entre deux enfants de six ans... Un espoir ?

    - Eh bien, mes parents et moi sommes des vampires.

    Cette phrase prononcée avec la plus grande simplicité, sans chichis, sans secrets.

    - D'accord.

    Un mot. Prononcé doucement, sans étonnement. Jiki accepta aussitôt que sa meilleure amie soit un vampire et, à vrai dire, rien ne changea entre eux. Ils continuaient à être naïfs et innocents, à ne se soucier que des feuilles tombant lentement des arbres sur le sol mousseux. Les années continuèrent de s'écouler sans aucun problème. Des saisons passèrent, encore et encore, et Hisae grandissait dans l'harmonie la plus parfaite, portant toujours un avis simple et positif sur le monde extérieur. Elle aimait ses parents comme elle aimait ses amis, et ne se posaient jamais de questions perturbantes. Quand un jour arriva, pour définitivement vriller le destin d'Hisae. Un jour qui marquait le début d'un long cauchemar pour la jeune fille, qui, à l'époque, venait tout juste de fêter ses huit ans.

    - Hisae... C'est vrai que les vampires mordent les humains ?
    - Oui, c'est ce qu'on m'a dit, pourquoi ?
    - ... Tu me montres comment ça fait ?


    Une question cruciale, en ce soir d'hiver, mais prise à la légère. C'était si simple d'y répondre...

    - D'accord.

    C'était la toute première fois que la fillette montrait ses crocs. C'était également la première fois qu'elle sentit du sang couler dans sa gorge. La toute première fois... Et sans doute la dernière. Un secret. La fin de l'hiver approchait, puis vînt le printemps. Les arbres se couvraient de feuilles, les champs de fleurs, le sol d'herbe douce et verte. Cependant, bizarrement, Jiki ne semblait pas ravi de cette nouvelle saison. Plus le temps passait, plus il semblait perturbé. Un jour, il posa une question étrange...

    - Hisae, tu crois que je vais devenir un vampire ?

    La jeune fille ne put que rire de cette question absurde. Et elle répondit, avec cette légèreté qui lui était si particulière, l'amusement pointant dans sa voix enfantine :

    - Mais non, bêta, seuls les sangs purs comme ma maman peuvent transformer les humains en vampires !

    Oui, Fukami était une sang pur. Mais cela importait peu à sa fille, qui ne comprenait finalement pas tellement les conséquences d'un tel rang. Et puis, après tout, son père était un simple vampire de classe noble, donc elle ne risquait certainement pas d'hériter du haut grade de sa mère.
    Quand, un jour, un onze novembre pour être précis, un évènement vînt totalement bouleverser la vie sans problèmes de Hisae. C'était le jour de son dixième anniversaire, l'année la plus importante de son existence. On venait de toquer à la porte, et ce fut Fukami qui alla ouvrir. Les gonds mal huilés grincèrent, et la jeune femme poussa un cri, avant de chuchoter avec colère mêlée d'un soupçon de crainte, comme pour ne pas se faire entendre.

    - Qu'est-ce que tu me veux ?!

    Ce fut une voix d'homme mûr qui répondit. Hisae, qui regardait la télévision, n'y faisait pas attention.

    - C'est bien aujourd'hui, il me semble... Je veux juste la voir.
    - Jamais, tu m'entends, jamais tu ne l'approchera !


    Affolée, oui, elle semblait affolée. Des éclats de voix lui venant aux oreilles, Hisae se laissa glisser sur le sol, et se dirigea vers la porte d'entrée. Lentement, avec curiosité.

    - Et toi, qui es-tu pour m'empêcher de la voir, Kami ?
    - Je t'en supplie, ne lui fais pas ça...


    Des sanglots. Encore et encore, la fillette s'approchait. Ses longs doigts se posèrent sur la poignée de la porte ; cette même porte qui, ouverte, lui permettrait de voir l'inconnu qui mettait sa mère dans un tel état.

    - Longtemps, j'ai attendu ce jour. Et ce n'est pas toi qui me feras renoncer !

    Elle poussa la poignée, et la porte s'ouvrit, sans bruit. Elle vit sa mère, de dos, tremblant comme une feuille. Et l'inconnu la regarda, droit dans les yeux. Fukami se retourna, et ouvrit de grands yeux affolés, remplis de larmes.

    - Hisae... ?

    La voix de cet homme fit frissoner la fillette. C'était une voix grave, mûre, mais effrayante. Quant à l'inconnu en lui-même, qui venait impudiquement de prononcer le prénom d'Hisae, il était véritablement impressionant. Pas par sa carrure, qui pourtant était massive, ni par ce ton glacial. Mais par ses yeux, qui luisaient d'un éclat rouge dans l'obscurité ambiante, et par ce qu'il dégageait. Il n'y avait aucun doute là-dessus, c'était un sang pur.

    - Qui c'est ?

    Demanda la jeune fille à sa mère, qui se mordait la lèvre inférieur. Une goutte de sang perla. Apparemment, elle était vraiment dans tous ses états. Et ce qu'elle répondit, d'une voix tremblante, glaça Hisae d'effroi.

    - Hisa... Cet homme... Cet homme est ton vrai père.
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Hisae Saori.
Sang pur - élève de la Night Class.
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MessageSujet: Re: Hisae Saori.   Hisae Saori. Icon_minitimeVen 14 Nov - 21:05

    Tout ce qui faisait à ce moment là la vie de la fillette venait de s'effondrer en ces quelques mots. Cependant, bien qu'elle fut complètement perturbée, l'once de lucidité qui lui restait lui permit de penser à quelque chose en priorité. Si ce qu'avait dit Fukami était vrai, ce dont elle ne doutait nullement, cela voulait dire qu'Hisae était un sang pur. C'est à ce moment précis qu'elle comprit les responsabilités de ce grade. Shitajiki... Il n'était pas très en forme ces derniers temps. Cette révélation la frappa comme un coup dur lorsqu'elle pensa à ce qu'elle avait pu faire à son meilleur ami ; et elle s'évanouit.
    Lorsqu'elle s'éveilla, « l'homme au sang pur » -car elle ne pouvait pas vraiment le considérer comme un parent, alors que dix ans s'étaient écoulés sans lui-, était parti, et la fillette ne le revit plus jamais. Seulement, un autre problème lui pesait bien davantage, passant par dessus tout. Le premier mot qu'elle prononça en sortant du sommeil fut le prénom de Jiki. Toute légèreté et innocence définitivement perdues, elle se leva maladroitement, et, échappant à la surveillance de sa mère qui se trouvait dans la cuisine, sortit dehors. Elle courut jusqu'à en perdre haleine, pour finalement arriver sur un sentier de forêt. Là, comme elle s'y attendait, elle y vit son meilleur ami. Elle cria son nom, et se jeta dans ses bras.

    - Jiki... Je... Je suis tellement désolée... Je t'en supplie, pardonne-moi...

    Cette phrase fut prononcée des sanglots dans la voix. Elle se mit à pleurer, pour la première fois de sa vie, lorsqu'elle sentit l'étreinte tremblante de son ami. Lui aussi n'était plus le gamin d'autrefois. À tout juste dix ans, les deux jeunes gens étaient désormais des adultes l'un et l'autre.

    - Tant... Tant qu'on sera ensemble, tout ira bien, Hisa.

    La voix du garçon tremblait également, bien qu'il ait voulut la maintenir ferme. Mais rien n'y fit, et ils restèrent ainsi enlacés pendant de longues minutes, comme si c'était la dernière fois qu'ils se voyaient. Cependant, au fond d'eux, ils savaient très bien que c'est parce qu'ils disaient adieu à leur enfance, désormais lointaine, tellement lointaine...
    D'autres années s'écoulèrent, moins paisibles que les précédentes. Jiki devenait de plus en plus mal, même si il le cachait du mieux qu'il le pouvait ; tandis que Hisae en découvrait de plus en plus sur les conditions de sa venue au monde. Elle apprit que le sang pur qui l'avait engendrée, et qu'elle n'avait rencontré qu'une seule fois, s'appelait Rokujirō Kanja, et était un vampire ayant maintes fois tué, recherché par le Sénat et donc en cavale depuis de très nombreuses années. Un soir, il y a dix ans, il a rencontré Fukami, et n'est resté avec elle qu'une seule nuit. Le lendemain, il avait disparu, laissant derrière lui la jeune femme devant assumer un lourd secret. Quelques semaines à peine plus tard, elle rencontra Chũji ; lorsque survînt la naissance d'Hisae, une princesse née de l'union d'une sang pur oubliée et d'un fugitif recherché, ils décidèrent d'un commun accord de cacher sa véritable identité au monde extérieur. Cependant, Il est revenu, et les choses ont du être précipitées. Comment Il l'a retrouvée, nul ne peut le savoir à part Lui, mais après tout, maintenant que c'est fait...
    Quatre années s'étaient écoulées depuis la visite de Rokujirō. Hisae était maintenant une belle jeune fille, pleine de vie et en bonne santé. Cependant, elle ne pouvait s'épanouir, se souciant éternellement de Jiki, de qui elle se sentait responsable. Il était devenu un vampire ayant du mal à contrôler ses instincts, et Hisae ne savait pas quoi faire pour le sauver, ce qui l'affolait complètement. De plus, il traînait régulièrement en ville, et elle craignait qu'il se fasse attraper par des hunters. Un jour, cependant, elle découvrit un moyen de sauver son ami : qu'il boive son sang. Immensément soulagée d'avoir trouvé cette solution, elle se dépêcha d'aller trouver Jiki, mais il n'était pas chez lui. Commençant à s'inquiéter, elle le retrouva finalement dans la forêt, assis contre un vieux chêne.

    - Jiki !

    La chemise blanche du jeune homme était imbibée de sang. Celui d'un autre, ou... Le sien ? Hisae se précipita vers lui, et constata avec effroi qu'il était blessé.

    - Comment t'es-tu fait cela ?

    ... Dit-elle d'une voix tremblante, dans un souffle aigü.

    - Un homme... Que je ne connaissais pas... M'a tiré dessus.
    - Un hunter ?
    - Je ne sais pas se que c'est, mais sans doute... Je suis désolé, Hisae.
    - Non ! C'est moi qui devrait être désolée, Jiki... C'est de ma faute, j'aurais dû te prévenir...

    La jeune fille se mordit la lèvre inférieure, en un geste qui rappelait typiquement sa mère. Elle était accroupie près de son ami, et lui tenait fermement les mains. Elle savait très bien que cette blessure était parfaitement insoignable, étant donné qu'elle avait été faite avec une arme anti-vampires. Mais l'idée de le perdre était tout simplement impensable, il était tout ce qui lui restait. Sa mère était tombée gravement malade, et n'allait pas tarder à décéder, bien que le médecin lui ait prescrit beaucoup de médicaments. À cette pensée, Hisae étouffa un sanglot supplémentaire, de plus en plus tremblante.

    - J'avais... J'avais trouvé un moyen de te sauver... Je... Je...

    La jeune fille ne trouvait plus ses mots, son esprit était embrouillé par le chagrin. Au fond d'elle, elle le savait. La balle était passée près du cœur, et répandait sa magie nocive dans tout le corps de son ami. Oui, elle le savait, que trop bien... C'était les dernières minutes qu'ils passaient ensemble, et elle ne pouvait rien y faire. Son cœur battait la chamade.
    Jiki posa son doigt sur les lèvres de son amie, ne voulant pas la faire davantage souffrir en la laissant parler. Son regard, à ce moment là, valait un long discours. Ses yeux gris la fixaient avec tant d'intensité qu'elle en eut des frissons dans tout le corps.

    Boum. Boum.

    Le bruit de son cœur battant à tout rompre résonnait en elle comme une longue mélodie effrayante. Elle voulait parler, crier même, mais les mots ne vinrent pas. Elle resta donc muette, pleurant sans plus pouvoir s'arrêter. Elle sentait la chaleur de son ami à quelques centimètres, elle sentait son regard sur elle qui semblait la brûler. Peu à peu, c'eût pour effet de l'apaiser, et elle comprit. Inutile de s'obstiner à vouloir prononcer des mots incohérents. Tellement inutile... Leurs regards se croisèrent, parlèrent d'eux-même. Jiki approcha son visage du sien, lui caressa la joue d'un geste tendre. Hisae, bien qu'elle fut complètement perdue, le lui rendit avec la même délicatesse. Ils s'approchèrent encore l'un de l'autre, et leurs lèvres s'unirent. Hisae sentit une foule de sentiments qu'elle avait tenté de cacher l'envahir, et s'y abandonna. Maintenant, plus rien n'importait ; ils s'aimaient. Depuis toujours. Passionnément. Ils restèrent un moment à s'embrasser fougueusement, sachant tous deux que c'était la première... Et dernière fois. Puis ils s'enlacèrent, et c'est dans cette position que tout s'arrêta. Il était parti. Définitivement. Aucun mot ne peut définir à quel point était immense le chagrin d'Hisae à ce moment là. Elle s'en voulait, en voulait à son père, en voulait aux hunters, en voulait au monde entier. Dès lors, une haine sauvage l'habita, et elle sut, au fil du temps, la concentrer uniquement sur le Sénat. Celui qui a tiré sur Shitajiki n'en avait absolument pas le droit, et pourtant, il l'avait fait. Elle le découvrira, et lui fera payer. Cher. Très cher. Ainsi qu'à celui qui a commandé cette exécution. Ils paieront tous.

    Hisae entama de très sérieuses recherches sur les vampires hunters, animé par sa soif de vengeance, lorsque sa mère mourut, après un an de maladie ; son père adoptif la rejoignit peu après, rongé par le chagrin. C'en était trop pour une seule personne, et la jeune fille crut devenir folle. Heureusement, il lui restait une once de raison, qui la guida sur le droit chemin, et sa détermination lui permit de remonter la pente. Même si jamais son cœur ne cicatrisera, elle a trouvé le force de continuer à vivre, et, peu à peu, sa haine profonde s'est enfouie au fond d'elle. Aujourd'hui, elle a su faire la part des choses, et les épreuves qu'elle a enduré lui ont forgé un caractère ferme et déterminé. En apparence, l'on pourrait croire que rien ne peut la toucher, et pourtant, si un jour quelqu'un lui mettait ne serait-ce qu'un brin d'herbe là où ça fait mal, il découvrirait une toute autre personne.
    Âgée de seize ans à peine, elle décida de relancer sa vie, et eût l'idée de faire des études. Après quelques recherches, elle tomba finalement sur une académie, l'Académie Cross, et s'y inscrivit ; aujourd'hui, dans le monde, à part son vrai père qui se cache quelque part, personne n'est au courant de sa véritable nature de sang pur. Elle reste très mystérieuse sur son passé, et parle très peu.
    La vie continue malgré tout...

    Caractère :
    Discrète, voire même parfois renfermée, Hisae est une jeune fille qui pourtant s'intègre plutôt bien en groupe. Bien qu'elle préfère la solitude, être avec des gens de compagnie agréable lui fait souvent un bien fou. Elle se veut être gaie en communauté, et se cache derrière un sourire factice. Bonne comédienne, ceux de son entourage la trouvent joyeuse et pleine de vie, c'est qui n'est, au fond, pas du tout le cas. Beaucoup veulent être son ami, et c'est alors qu'elle devient assez distante. En effet, Hisae ne veut absolument pas s'attacher, cela l'effraie totalement, de par son passé. Mais cela ne l'empêche pas d'être toujours là pour les autres, et elle n'hésite jamais à aider ceux dans le besoin.
    Les gens de tous âges qui la côtoient la prennent pour une fille forte et résistante, voire inatteignable. Cependant, ce n'est qu'une apparence, et si par malheur on enfonce ne serait-ce qu'un brin d'herbe là où ça fait mal, toutes ses barrières voleraient en éclat, et là seulement, elle révèlerait sa véritable identité. Mais jusqu'à aujourd'hui, la seule personne l'ayant vraiment connue n'est plus de ce monde... Serez-vous la prochaine ?


    × Pseudo : Masouka.
    ×
    × Une remarque à faire ? Ah, là, là... Obligée de poster en deux messages, franchement, c'est nul... ><
    × Autre chose à signaler ? J'adore ce nouveau personnage. ^^
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